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PETITS DÉJEUNERS PROTÉINÉS

Il est le premier repas de la journée. L'usage de son nom vient du XIIe siècle. D'un point de vue diététique, il rompt le jeûne nocturne, il doit favoriser l'éveil énergétique du corps afin de se sentir en pleine forme, sans avoir faim jusqu'au déjeuner. Il doit apporter des vitamines liposolubles (A et D) par les graisses végétales, du calcium et du magnésium; le cholestérol alimentaire du matin réprimant la synthèse endogène : manger les aliments, qui en contiennent, ne prêtera pas à conséquence; des aliments glucidiques à index glycémique lent et un mélange de protéines végétales et animales dont la composition en acides aminés favorisant l'apport au cerveau de ceux nécessaires à la biosynthèse des neuromédiateurs de l'éveil et de la bonne humeur.
 
Comme l'a écrit Lévi-Strauss, ce qui caractérise les sociétés humaines, c'est que l'aliment préparé et consommé fait l'objet d'un partage ; la consommation d'aliments est soumise à des rythmes étroitement liés à ceux qui gèrent les rapports entre les membres d'une famille, d'un clan, d'une société. D'un pont de vue social, le petit déjeuner est l'occasion de se retrouver après la séparation d'une nuit de sommeil, pour savourer, pour partager le plaisir de manger ce premier repas, ensemble, de raconter ses rêves, de parler de ses projets pour la journée...
 
Le chocolat, le café crème, le lait entier mais aussi les croissants, les pains au chocolat sont autant d'aliments gourmands retrouvés au quotidien. L'arôme de certains se retrouvera dans les aliments diététiques pour régime protéiné Medic-System.
 
Pouvoir satiétogène des Petits Déjeuner MEDIC-SYSTEM, aliments de régime protéiné conseillé dans votre programme d'amincissement :
  • Dans la régulation de l'appétit, les protéines possèdent un pouvoir satiétogène supérieur à celui des glucides et des lipides.
  • Dans la dépense énergétique liée à l'acte alimentaire, pour un apport équivalent en glucides et protéines, la dépense énergétique postprandiale la plus élevée sera celle des protéines (25% de la charge).
  • De plus, elles contribuent à la faible densité énergétique des aliments (4 kcal/g) et à la bonne valeur biologique, nutritionnelle des aliments (rôles plastiques des acides aminés).
Une première série d'études montrent que l'enrichissement (au moins 40% des apports énergétiques) d'un repas en protéines, au détriment des glucides et des protéines, augmentent de plusieurs heures la sensation de satiété. Et, une seconde série révèle qu'après un repas composé d'aliments protéinés pour 50%, les convives consomment moins d'énergie au repas suivant.
 
Biologiquement, le pouvoir satiétogène s'explique par l'augmentation de l'osmolarité du contenu de l'estomac, aboutissant à sa distension (rassasiement) et la sécrétion d'hormones de la satiété.