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POTAGES HYPERPROTÉINÉS

La soupe ou potage, est un aliment liquide, froid ou chaud, qui est généralement servi au début du repas. La plupart des soupes traditionnelles sont composées de légumes cuits dans un bouillon, auxquels on ajoute parfois diverses viandes ou poissons et matières grasses (lard, beurre, huile, crème fraîche...). Il existe une grande variété de soupes exotiques dans la gastronomie mondiale, notamment dans les pays asiatiques.
 
Le terme potage vient du mot "pot" et des légumes cuits dans un pot. Il a donné ensuite celui de potager : l'endroit où l'on cultive les légumes pour le potage.
 
La soupe est à l'origine, la tranche de pain posée dans une assiette, que l'on arrose de bouillon, de lait. Le mot est resté lorsque la tradition a abandonné la tranche de pain, il désigne un potage ou un bouillon épaissi par des morceaux de légumes non passés ou des croutons de pain.
 
La soupe, une fois cuite, peut être servie telle quelle ou battue, pour obtenir une consistance plus homogène qui est plus facilement absorbée et qui change de goût par un changement de texture.
Quelques noms qui nous mettent en appétit : julienne de légumes, bisque de homard, garbure, panade, soupe au pistou, potage Saint-Germain.
 
Pouvoir satiétogène des Potages Hyperprotéinés MEDIC-SYSTEM, inclus dans un programme de régime protéiné et conseillés dans la méthode d'amincissement Nutrimed :
  • Dans la régulation de l'appétit, les protéines possèdent un pouvoir satiétogène supérieur à celui des glucides et des lipides.
  • Dans la dépense énergétique liée à l'acte alimentaire, pour un apport équivalent en glucides et protéines, la dépense énergétique postprandiale la plus élevée sera celle des protéines (25% de la charge).
  • De plus, elles contribuent à la faible densité énergétique des aliments (4 kcal/g) et à la bonne valeur biologique, nutritionnelle des aliments (rôles plastiques des acides aminés).
Une première série d'études montrent que l'enrichissement (au moins 40% des apports énergétiques) d'un repas en protéines, au détriment des glucides et des protéines, augmentent de plusieurs heures la sensation de satiété. Et, une seconde série révèle qu'après un repas composé d'aliments protéinés pour 50%, les convives consomment moins d'énergie au repas suivant.
 
Biologiquement, le pouvoir satiétogène s'explique par l'augmentation de l'osmolarité du contenu de l'estomac, aboutissant à sa distension (rassasiement) et la sécrétion d'hormones de la satiété.